Il est temps de prendre le grand air et de profiter de la nature. Voici la suite d’une mini-série sur les bons plans touristiques en Alsace et les départements voisins pour choisir sa destination estivale. Avant-dernière étape : le Bas-Rhin offre un large éventail d’activités pour tous les budgets.
Dans le Bas-Rhin, les touristes pourront mettre un pied en Mongolie en dormant dans une yourte. Mais avec tout le confort du XXIème siècle ! À près de 950 m d’altitude, au pied du Champ du Feu, ce concept écologique en harmonie avec la nature offre même une douche solaire en été. Pour un petit week-end en amoureux, les touristes devront se rendre aux alentours du Ballon d’Alsace pour dormir dans un tonneau géant ! Totalement aménagé avec une grande terrasse, les couples se retrouveront dans une ambiance chaleureuse. Ils se dépenseront grâce aux nombreuses randonnées possibles.
Vrai ou fake?
Le Massif du Donon culmine à 1000 m d’altitude et a très vite revêtu un caractère sacré. De nombreuses légendes se sont développées, en mêlant mythe et réalité. Les Romains ont consacré ce site à Mercure. Napoléon III y a fait dresser une réplique, très réussie, d’un temple antique.
Ce n’est pas un scoop : l’Alsace et la Moselle ont une histoire particulière. Les touristes pourront découvrir le passé de ces deux départements qui ont changé quatre fois de nationalité entre 1871 et 1945. Le Mémorial de l’Alsace Moselle, à Schirmeck, offre une leçon d’histoire accessible à tous.
Unique en Alsace
En Alsace, il n’y a pas la mer ni les vagues… Mais il y a la base nautique “Les Mouettes” à Lauterbourg. Une activité unique en Alsace : du surf électrique sur le lac. Silencieuses et non polluantes, ces planches de surf 2.0 permettront aux enfants, adolescents et adultes de partir à la conquête du lac. Enfin, à Entzheim, il est possible d’embarquer à bord d’un avion de chasse ! Enfin, presque… L’aéroport possède un simulateur de vol d’avion de ligne ou de chasse. Il propose également des stages pour apprendre à mieux gérer son stress en avion.
Un article de Cécile Jacquot, édité par Sailesh Gya.