Ce mercredi 16 octobre, lors des 32ᵉ de finale de la Coupe de France, la SIG Strasbourg a dominé le SLUC Nancy sur le score sans appel de 106 à 66. Une grosse performance qui lui ouvre les portes des 16ᵉ de finale.

Le match a débuté avec une légère avance pour le SLUC Nancy, profitant d’un bon départ. Cependant, la SIG a rapidement inversé la tendance. En fin de premier quart-temps, une série de tirs à trois points a permis aux Strasbourgeois de prendre l’ascendant et de dominer le jeu. Une adresse au tir qui a énormément mis en difficulté la défense nancéienne. Le deuxième quart-temps a confirmé cette supériorité. Les joueurs de la SIG ont affiché une efficacité offensive impressionnante, surpassant encore leur performance de début de match. À la mi-temps, l’écart s’est creusé de 20 points en faveur de Strasbourg, laissant Nancy peiner à rester dans le match.

Un jour à oublier pour Nancy

Au retour des vestiaires, le scénario ne s’est pas amélioré pour le SLUC. Le troisième quart-temps a été marqué par une nette domination strasbourgeoise. L’écart a atteint 30 points au milieu de la période (68-38), Nancy accumulant les erreurs, pertes de balle et manquant cruellement d’adresse au tir. 

Présents dans les tribunes, les supporters strasbourgeois n’ont pas caché leur joie face à cette lourde domination. « Nancy joue très mal, et c’est tant mieux pour nous ! » a confié Morgane, étudiante. « Il y a franchement un grand écart de niveau ce soir entre les deux équipes », a ajouté Yannis, également étudiant, soulignant la différence de niveau affichée lors de cette rencontre. Le dernier quart-temps a scellé le sort du match ou l’écart a culminé à 40 points dans les dernières secondes, pour se conclure sur le score final de 106 à 66.

La SIG Strasbourg valide ainsi brillamment son ticket pour les 16ᵉ de finale de la Coupe de France et affrontera Pau le 12 novembre à l’extérieur. De son côté, le SLUC Nancy devra rapidement tourner la page de cette lourde défaite et se concentrer sur la suite de la saison. Une soirée à oublier pour les Nancéiens, face à une équipe strasbourgeoise qui a démontré toute l’étendue de son talent.